Des risques qui peuvent encore être identifiés et contrôlés, avec le soutien des professionnels du secteur privé et du secteur public. Le commerce international n’est pas aussi libre que nous le pensons, il n’est pas synonyme de lâcher prise, pas de formalités, pas de libre circulation des marchandises, etc.
les différences de culture
La transparence et l’acceptation des autres et de leur culture ne sont pas toujours simples. Mais si vous voulez vous établir dans un marché extérieur, il est essentiel de faire des efforts. Voilà pourquoi on demande toujours aux entrepreneurs qui veulent se développer sur la scène internationale de bien choisir leur destination. L’insertion peut parfois être très difficile. Par conséquent, veillez à ce qu’il n’y ait pas trop de différences culturelles. En passant, prendre contact avec Imed peut s’avérer très utile dans ce cas. Vous serez en mesure de collecter un maximum d’informations concernant le pays où vous allez. L’établissement d’une présence sur un marché étranger n’est pas une mince affaire. On ne doit oublier aucun détail.
les interdictions relatives aux échanges internationaux.
Le commerce international fait également face à des interdictions, des conditions commerciales strictes représentées entre autres par des interdictions absolues ou relatives, des embargos. Dans ce domaine attention danger, à gérer précautionneusement et avec l’aide d’experts.Comme c’est le cas pour les opérations impliquant des marchandises dites sensibles qui exigent des formalités, des autorisations à obtenir, des contrôles imposés, etc., un traitement rigoureux.
Ces marchandises « sensibles » sont principalement :
les matériels de guerre et matériels assimilés, armes et munitions ; les biens à double usage (produits technologiques utilisables à des fins civiles et militaires) ; les poudres et substances explosives ; les biens culturels ; les espèces animales et végétales menacées d’extinction ; les végétaux et produits végétaux ; les animaux et produits animaux ; les médicaments ; les produits radioactifs, etc. Cette liste n’est pas exhaustive. Elle varie selon les pays tiers, d’où la nécessité à l’exportation de se procurer pour le pays de destination cette liste ou de consulter son tarif douanier pour déterminer si ces prohibitions absolues ou relatives (sous conditions) s’appliquent.